
Connéré - 53 ans – Mariée – 4 enfants
Avec mon mari nous habitons à côté du Mans dans l'ancienne ferme de mes parents reçue en héritage au décès de ma mère. Cette maison c'est tout pour moi. Je n'aurais jamais pensé devoir la vendre pour payer des dettes !
Mais malheureusement c'est bien ce qui a failli nous arriver.
Mon mari est boucher et moi secrétaire de mairie. En 2006, mon mari s'est entaillé le bras au travail. Tendon sectionné. C'était assez difficile à vivre !
Après 18 mois d'arrêt, son entreprise a finalement décidé de le licencier sachant qu'il ne pourrait plus reprendre son poste de désosseur sur la chaîne. La baisse de revenus a été un coup dur avec 2 enfants encore à charge. C'est à cette époque que notre voiture à claquer et sans véhicule impossible de suivre la formation que mon mari avait finalement réussi à décrocher.
On a emprunté et emprunté encore avec en ligne de mire l'emploi de chauffeur PL promis à mon mari. En quelques mois, on ne pouvait plus payer. Les incidents de paiement se sont accumulés et on a été fichés interdits bancaires.
Quand mon mari a retrouvé un emploi le mal était fait.
Nous avions accumulé 54 000 € de dettes ! Impossible de prendre un prêt en étant fichés. Impossible de faire un rachat de crédit pour la même raison. Nous étions coincés. La banque a commencé à nous menacer de saisir la maison pour payer les dettes !
C'est à ce moment là que l'on m'a parlé de la vente à réméré. J'ai contacté Credixis et c'était enfin le bout du tunnel.
Nous avons vendu à réméré la maison pour payer nos dettes et sortir du fichage. Sachant que nous avons des revenus stables, le prêt immobilier pour racheter la maison n'a été qu'une formalité. Pendant tout le temps du réméré, nous avons pu rester dans notre maison.
Aujourd'hui grâce au réméré, nous avons retrouvé une situation « comme avant ». Morale de cette histoire : Le surendettement ça n'arrive pas qu'aux autres !
Merci mille fois à Credixis qui nous a fait confiance au pire de notre malheur !